Dans l’objectif de remplacer dans les satellites les réservoirs d’hélium par des machines de type « pulse tube », il faut développer des systèmes de transport de puissance frigorifique, entre le cryoréfrigérateur et le détecteur à refroidir, qui fonctionne en microgravité. Notre concept, qui utilise une mèche capillaire comme « moteur », réalise cette fonction avec de l’azote (80 K). Les développements en cours concernent la modélisation, les matériaux, et la géométrie de la boucle. Ils visent l’hydrogène (20K) et à terme l’hélium (4 K) et intéressent le CNES et l’ESA.